04/07/2014
De l'improbable et de l'insolite à la plage
Entre Saint-Pierre la mer et Narbonne-Plage
C'est durant les années 50 et 60 que la station balnéaire de Narbonne-Plage est née et s'est développée. Elle jouxte celle de Saint-Pierre la mer dont elle n'est séparée que par un petit port de plaisance. Les gens du coin, de Narbonne et des environs, dans la dynamique de l'après guerre et en manque de villégiature, sont venus là, construire des petits pavillons avec petit jardin pour grandes vacances familiales et pénardes. Quelques pavillons, épargnés par les grandes rénovations, ont conservé des traces d'une expression populaire et spontanée qui pouvait, peut-être, se libérer plus facilement sous les effets conjugués de l'été, du soleil et de la mer.
Un coq en bois face au soleil levant
Sur un mur un étrange poisson aux allures mythologiques
Devant un pavillon, on peut voir côté route, deux sirènes
en ciment peint, à la queue recouverte de coquillages en guise d'écailles.
Sur la façade un robinet et un petit bac décorés d'une mosaïque représentant une femme.
Au-dessus, le nom du pavillon "l'Andalouse" laisse imaginer une possible origine espagnole du créateur.
Les sirènes peu ou prou (de navire), sont plus enfantines que féminines.
La belle andalouse
Le même pavillon, côté rue, un muret couvert de mosaïque, un portillon en bois
et deux phoques en ciment, venus là pour faire tourner des ballons sur leur nez.
Pas très loin une forme pointue recouverte de coquillages m'intrigue
Le tour du jardin révèle un barbecue prêt à l'emploi.
Détail de la hotte du barbecue
Les piliers de la porte d'entrée et le puits sont parfaitement raccords
La façade d'une autre maison, décorées de deux belles mosaïques
Écrit par bigou dans 1 De l'improbable à l'insolite à la plage, II...AUX JARDINS INSOLITES | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook