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15/11/2016

Musée japonais des pierres qui ressemblent à des visages.

 

 

 

Musée japonais des pierres qui ressemblent à des visages.

 

 

Situé dans la ville de Chichibu, à 2 heures au nord de Tokyo, le Chinsekikan est un musée qui présente plus de 1700 pierres qui  ressemblent à des visages, dont ceux de célébrités comme Elvis, Nemo, Donkey et Yelysin.

Ces pierres qui sont un fantastique nouvel exemple de paréidolie ont été amassées pendant plus de 50 ans par le fondateur du musée qui avait parfois une imagination débordante.

                                                                                                               www.laboiteverte.fr

 

Paréidolie : est une sorte d'illusion d'optique qui consiste à associer un stimulus visuel informe et ambigu à un élément clair et identifiable, souvent une forme humaine ou animale.

 

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Commentaires

Très jolie découverte une fois de plus, Jean-Louis. Je ne connaissais pas... Je vais me renseigner...
A propos de ta définition des pareidolies: j'ai découvert assez récemment, par le biais du photographe Monch qui l'emploie (et la pratique) abondamment (voir son site web), ce terme qui semble être plutôt un mot de la psychologie. Traiter cela "d'illusion d'optique" peut se discuter. Cela crée un peu de confusion, l'illusion d'optique étant un phénomène plus physique.
La pareidolie paraît en effet désigner avant tout les projections de notre mémoire sur des formes extérieures dont la configuration suggère des ressemblances. C'est une forme d'hallucination gentille et maîtrisée, en somme, ayant une base quelque peu objective (car les différents regardeurs conviendront de voir les mêmes choses, comme dans ce musée japonais, ce qui éloigne ces pareidolies de la véritable hallucination)... On peut voir des visages (ou autres) dans les pierres, les troncs d'arbres, les nuages... C'est un sujet qui me passionne, comme tu le sais. On trouve plusieurs ouvrages qui ont trait à ces projections.

Autre petite remarque, dans une de tes notes plus anciennes, à propos de Ciska Lallier, tu indiques 1977 comme date de l'expo Les Singuliers de l'art. C'est probablement une coquille. il faut lire 1978.

Écrit par : Bruno | 22/11/2016

Merci Bruno pour ce commentaire.
J'ai découvert ce musée sur Facebook (comme quoi....) je ne connaissais pas ce mot "paréidolie", j'ai recopié bêtement la définition de Wikipédia. Je suis bien d'accord avec toi, ça n'a rien d'une illusion d'optique puisque c'est réel.
En ce qui concerne Ciska Lallier, là aussi j'ai repris bêtement (décidément) le texte du musée de la Création Franche qui est à l'origine de l'erreur. J'ai fait la correction. Tout va bien.

Écrit par : Jean-Louis Bigou | 22/11/2016

Très jolie découverte une fois de plus, Jean-Louis. Je ne connaissais pas... Je vais me renseigner...
A propos de ta définition des pareidolies: j'ai découvert assez récemment, par le biais du photographe Monch qui l'emploie (et la pratique) abondamment (voir son site web), ce terme qui semble être plutôt un mot de la psychologie. Traiter cela "d'illusion d'optique" peut se discuter. Cela crée un peu de confusion, l'illusion d'optique étant un phénomène plus physique.
La pareidolie paraît en effet désigner avant tout les projections de notre mémoire sur des formes extérieures dont la configuration suggère des ressemblances. C'est une forme d'hallucination gentille et maîtrisée, en somme, ayant une base quelque peu objective (car les différents regardeurs conviendront de voir les mêmes choses, comme dans ce musée japonais, ce qui éloigne ces pareidolies de la véritable hallucination)... On peut voir des visages (ou autres) dans les pierres, les troncs d'arbres, les nuages... C'est un sujet qui me passionne, comme tu le sais. On trouve plusieurs ouvrages qui ont trait à ces projections.

Autre petite remarque, dans une de tes notes plus anciennes, à propos de Ciska Lallier, tu indiques 1977 comme date de l'expo Les Singuliers de l'art. C'est probablement une coquille. il faut lire 1978.

Écrit par : Bruno | 23/11/2016

Très jolie découverte une fois de plus, Jean-Louis. Je ne connaissais pas... Je vais me renseigner...
A propos de ta définition des pareidolies: j'ai découvert assez récemment, par le biais du photographe Monch qui l'emploie (et la pratique) abondamment (voir son site web), ce terme qui semble être plutôt un mot de la psychologie. Traiter cela "d'illusion d'optique" peut se discuter. Cela crée un peu de confusion, l'illusion d'optique étant un phénomène plus physique.
La pareidolie paraît en effet désigner avant tout les projections de notre mémoire sur des formes extérieures dont la configuration suggère des ressemblances. C'est une forme d'hallucination gentille et maîtrisée, en somme, ayant une base quelque peu objective (car les différents regardeurs conviendront de voir les mêmes choses, comme dans ce musée japonais, ce qui éloigne ces pareidolies de la véritable hallucination)... On peut voir des visages (ou autres) dans les pierres, les troncs d'arbres, les nuages... C'est un sujet qui me passionne, comme tu le sais. On trouve plusieurs ouvrages qui ont trait à ces projections.

Autre petite remarque, dans une de tes notes plus anciennes, à propos de Ciska Lallier, tu indiques 1977 comme date de l'expo Les Singuliers de l'art. C'est probablement une coquille. il faut lire 1978.

Écrit par : Bruno | 23/11/2016

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